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En Europe, un espoir pour la biodiversité


Le Futur de la Biodiversité en Europe : Un Compromis pour un Avenir Écologique

Au cœur de l'Union européenne, les couloirs du Conseil européen ont résonné d'un murmure d'espoir, une lueur prometteuse pour la restauration de la nature et la préservation de la biodiversité. Un compromis, fruit de longues négociations entre les représentants du Parlement et des États membres de l'UE, a émergé, éclairant un chemin vers un avenir plus durable et résilient pour notre planète.

César Luena, eurodéputé et rapporteur du texte sur la restauration des écosystèmes, a souligné l'ampleur des enjeux résolus par cet accord. "Non seulement cela va résoudre le problème des écosystèmes dégradés, mais cela va être utile aussi pour lutter contre les effets du changement climatique," a-t-il déclaré, porteur d'un optimisme mesuré.

Objectifs Ambitieux pour Préserver notre Planète

Ce compromis ambitieux met en avant un calendrier exigeant visant à restaurer au moins 20 % des terres et des espaces marins de l’Union d'ici 2030. Un objectif éminent qui a soulagé et encouragé les organisations écologistes, comme en témoigne Beate Aikens, chargée de plaidoyer chez WWF auprès de l’UE. Elle a exprimé sa satisfaction quant à la protection des écosystèmes clés, soulignant leur rôle crucial dans la résistance aux défis climatiques tels que les inondations, les vagues de chaleur, les sécheresses et les incendies de forêt.

Tatiana Nuño, responsable de la politique marine à « Seas At Risk », a souligné le rôle majeur de cette nouvelle loi dans la préservation des mers européennes, mettant en lumière la nécessité de mettre fin aux pratiques de pêche destructrices pour garantir un avenir durable.

Un Équilibre Délicat entre Objectifs et Réalités

Cependant, cet accord ne contraindrait pas les 27 États membres à atteindre ces objectifs, mais à mettre en œuvre les actions nécessaires. Une obligation de moyens plutôt que de résultats, laissant une marge de manœuvre dans des circonstances exceptionnelles, notamment en cas de menace sérieuse sur la sécurité alimentaire. Cette clause a rassuré les défenseurs des agriculteurs, tels que Christine Schneider, eurodéputée, qui a souligné l'importance de garantir la sécurité alimentaire en Europe sans imposer de contraintes drastiques aux agriculteurs.

Un Processus en Évolution Constante

Malgré cet accord, la voie vers l'adoption finale reste semée d'obstacles. Le débat initial très tendu entre la gauche et la droite européenne a laissé transparaître des enjeux électoraux sous-jacents pour les élections européennes de 2024. Maintenant, l'étape cruciale de la version finale sera soumise au vote en commission environnement fin novembre, suivi de l'adoption en plénière en janvier.

Conclusion

Ce compromis marque un tournant crucial vers la préservation de notre biodiversité et la restauration de nos écosystèmes. Toutefois, l'adoption finale de cette loi demeure un enjeu majeur. Si elle se concrétise, elle tracera la voie vers un avenir où l'harmonie entre l'homme et la nature est non seulement possible mais également nécessaire pour assurer la survie des générations futures. En somme, l'espoir pour la biodiversité en Europe est éclairé, mais sa réalisation reste entre nos mains.

The Future of Biodiversity in Europe: A Compromise for an Ecological Tomorrow

At the heart of the European Union, the corridors of the European Council echoed with a whisper of hope, a promising glimmer for the restoration of nature and the preservation of biodiversity. A compromise, the result of lengthy negotiations between representatives of the Parliament and EU member states, emerged, illuminating a path towards a more sustainable and resilient future for our planet.

César Luena, a Member of the European Parliament and rapporteur for the restoration of ecosystems, emphasized the magnitude of the issues addressed by this agreement. "Not only will this solve the problem of degraded ecosystems, but it will also be useful in combating the effects of climate change," he said, bearing measured optimism.

Ambitious Goals to Preserve our Planet

This ambitious compromise highlights a demanding schedule aimed at restoring at least 20% of the Union's lands and marine spaces by 2030. A prominent objective that relieved and encouraged environmental organizations, as evidenced by Beate Aikens, advocacy officer at WWF for the EU. She expressed satisfaction with the protection of key ecosystems, emphasizing their crucial role in resisting climate challenges such as floods, heatwaves, droughts, and forest fires.

Tatiana Nuño, head of marine policy at "Seas At Risk," underscored the significant role of this new law in preserving European seas, highlighting the need to end destructive fishing practices to ensure a sustainable future.

A Delicate Balance between Objectives and Realities

However, this agreement would not compel the 27 member states to achieve these objectives but to implement the necessary actions. An obligation of means rather than results, leaving room for maneuver in exceptional circumstances, particularly in the case of a serious threat to food security. This clause reassured advocates for farmers, such as Christine Schneider, a Member of the European Parliament, who emphasized the importance of ensuring food security in Europe without imposing drastic constraints on farmers.

An Evolving Process

Despite this agreement, the path to final adoption remains fraught with obstacles. The initially tense debate between the left and the European right revealed underlying electoral issues for the 2024 European elections. Now, the crucial stage of the final version will be subject to a vote in the environmental committee at the end of November, followed by adoption in plenary in January.

Conclusion

This compromise marks a crucial turning point towards the preservation of our biodiversity and the restoration of our ecosystems. However, the final adoption of this law remains a major issue. If it materializes, it will pave the way for a future where harmony between humans and nature is not only possible but also necessary to ensure the survival of future generations. In summary, hope for biodiversity in Europe is illuminated, but its realization remains in our hands.


Burundi : le succès de l'agriculture hors-sol


Révolution agricole au Burundi : le succès de l'agriculture hors-sol

Dans les collines verdoyantes du Burundi, une révolution silencieuse est en marche, transformant la façon dont les fermiers cultivent leurs terres et nourrissent leur bétail. C'est une histoire de succès et d'innovation agricole qui s'appuie sur une technique révolutionnaire : l'hydroponie.

Cédric Niyongabo, un cultivateur visionnaire, est à l'avant-garde de ce mouvement. Sur sa ferme, lui et ses amis ont adopté une méthode de culture révolutionnaire appelée le fourrage hydroponique. Au lieu de la terre, ils utilisent des plateaux métalliques pour faire pousser des graines de blé et de maïs de haute qualité, et au lieu d'énormes quantités d'eau, ils utilisent une quantité minimale d'irrigation. Le résultat est tout simplement impressionnant.

"Nous utilisons des graines de blé ou de maïs de bonne qualité", explique Cédric Niyongabo. "Et puis, on cultive sur ces plateaux en aluminium galvanisés, inattaquables par la rouille. Et puis on lave ces graines afin que les vaches aient une alimentation saine. Le processus de germination dure quelques heures. On fait la germination pendant quelques heures, puis on arrose. Et sept jours après, c'est la récolte. Les éleveurs peuvent donner ce fourrage à leurs vaches, à leurs chèvres, moutons, poules et lapins."

Le résultat de cette méthode est impressionnant. Chaque semaine, la petite entreprise verte de Cédric génère quatre tonnes de plantes. Cela représente une bouffée d'air frais pour le Burundi, qui subit une pression démographique croissante et une diminution des terres cultivables. La technique de Cédric offre une solution brillante à ce problème.

"Au Burundi, les terres s'amenuisent. Les gens n'ont plus où cultiver. Mais j'utilise plusieurs niveaux : un, deux ou trois verticalement. Ce qui signifie que j'exploite de façon intensive sur un petit espace. Ça résout la question du manque d'espace. Sur 50 mètres par 50 mètres, j'ai la même production que celui qui utilise quatre hectares pour le fourrage habituel."

Cette approche innovante de l'agriculture est d'autant plus cruciale au Burundi que, il y a deux ans, le gouvernement a interdit la divagation des animaux domestiques. Cette décision a eu des conséquences importantes pour les fermiers qui ont dû trouver des moyens plus abordables de nourrir leur bétail.

Pascal Ndayegamiye, un policier à la retraite reconverti en éleveur, partage son soulagement en découvrant le fourrage hydroponique : "Quand je l'ai appris, j'ai cherché ce jeune homme et il m'a dit que le kilo de fourrage était à 500 francs burundais. Il m'a donné des échantillons. Ce type de fourrage peut nous aider beaucoup durant la saison sèche, car le fourrage habituel amené sur vélo est à 18 000 francs, 20 000 francs voire 30 000 francs burundais. Mais si nous avons la chance d'avoir le kilo à 500 francs burundais, on a dix kilos pour 5 000 francs burundais."

L'impact du fourrage hydroponique sur les agriculteurs burundais est incontestable. Cela représente une économie substantielle pour ceux qui dépendent de l'agriculture et de l'élevage pour leur subsistance. Les avantages de cette méthode vont au-delà de la réduction des coûts, car elle permet également une utilisation plus efficace des ressources, notamment de l'eau, tout en garantissant une alimentation saine pour le bétail.

Mais Cédric Niyongabo ne veut pas s'arrêter là. Il a des ambitions plus vastes pour sa technique révolutionnaire. Il souhaite la vulgariser dans tout le pays. Au Burundi, où 90 % de la population vit de l'agriculture et de l'élevage, cette initiative pourrait changer la donne pour de nombreuses familles rurales.

Cette histoire de réussite en matière d'agriculture hors-sol est un exemple inspirant de la manière dont l'innovation peut transformer la vie des gens, en particulier dans les régions où les ressources sont limitées. Elle montre également que le Burundi, malgré ses défis, est capable de trouver des solutions novatrices pour relever les défis agricoles.

Alors que le fourrage hydroponique gagne en popularité et en acceptation, il est probable que de plus en plus de fermiers adopteront cette méthode révolutionnaire, améliorant ainsi leur sécurité alimentaire et leurs moyens de subsistance. Cela pourrait également ouvrir la porte à de nouvelles opportunités commerciales pour ceux qui souhaitent investir dans cette technologie prometteuse.

En fin de compte, le succès de l'agriculture hors-sol au Burundi est une histoire qui mérite d'être entendue. Elle nous rappelle que l'innovation et la détermination peuvent surmonter les obstacles, même dans les environnements les plus difficiles, et ouvrir la voie à un avenir meilleur pour les agriculteurs et leurs communautés.

 Agricultural Revolution in Burundi: The Success of Soilless Farming

In the lush green hills of Burundi, a silent revolution is underway, transforming the way farmers till their lands and nourish their livestock. It's a tale of agricultural success and innovation built upon a groundbreaking technique: hydroponics.

At the forefront of this movement is Cédric Niyongabo, a visionary farmer. On his farm, he and his friends have embraced a revolutionary cultivation method known as hydroponic forage. Instead of soil, they employ metal trays to grow high-quality wheat and maize seeds, and instead of copious amounts of water, they use a minimal quantity of irrigation. The result is nothing short of impressive.

"We use high-quality wheat or maize seeds," explains Cédric Niyongabo. "We cultivate them on these galvanized aluminum trays, impervious to rust. Then, we rinse these seeds to ensure healthy feed for the cows. The germination process takes a few hours. We germinate for a few hours, then we water. And seven days later, it's harvest time. Farmers can provide this forage to their cows, goats, sheep, chickens, and rabbits."

The outcome of this method is remarkable. Each week, Cédric's small green enterprise yields four tons of plants. This serves as a breath of fresh air for Burundi, which faces increasing population pressure and diminishing arable land. Cédric's technique offers a brilliant solution to this problem.

"In Burundi, arable lands are dwindling, and people have nowhere left to cultivate," he adds. "But I utilize multiple vertical levels: one, two, or three. This means I intensively farm in a small space. It resolves the issue of space shortage. On 50 meters by 50 meters, I achieve the same production as someone using four hectares for conventional forage."

This innovative approach to agriculture is all the more crucial in Burundi because two years ago, the government banned the roaming of domestic animals. This decision had significant repercussions for farmers, who had to find more cost-effective ways to feed their livestock.

Pascal Ndayegamiye, a retired police officer turned farmer, shares his relief upon discovering hydroponic forage: "When I learned about it, I sought out this young man, and he told me that a kilogram of forage was priced at 500 Burundian francs. He gave me samples. This type of forage can greatly help us during the dry season, as the usual forage transported by bicycle costs 18,000, 20,000, or even 30,000 Burundian francs. But if we're fortunate to have a kilogram at 500 Burundian francs, we get ten kilograms for 5,000 Burundian francs."

The impact of hydroponic forage on Burundian farmers is undeniable. It represents significant savings for those reliant on agriculture and livestock for their livelihoods. The benefits of this method extend beyond cost reduction; it also allows for more efficient use of resources, notably water, while ensuring healthy livestock feed.

But Cédric Niyongabo doesn't intend to stop there. He has grander ambitions for his revolutionary technique. He aims to popularize it across the entire country. In Burundi, where 90% of the population relies on agriculture and livestock, this initiative could be a game-changer for numerous rural families.

This tale of success in soilless farming is an inspiring example of how innovation can transform people's lives, especially in regions with limited resources. It also demonstrates that Burundi, despite its challenges, is capable of finding innovative solutions to agricultural problems.

As hydroponic forage gains popularity and acceptance, it's likely that more and more farmers will adopt this revolutionary method, improving their food security and livelihoods. This could also open doors to new business opportunities for those interested in investing in this promising technology.

In the end, the success of soilless farming in Burundi is a story worth hearing. It reminds us that innovation and determination can overcome obstacles, even in the most challenging environments, and pave the way for a brighter future for farmers and their communities.

Côte d’Ivoire, à la recherche des léopards.

Dans le cadre de l'apprentissage de la langue française, il est souvent recommandé de se plonger dans des sujets intéressants pour renforcer les compétences linguistiques. Ainsi, les reportages d'actualité et les affaires courantes peuvent être un excellent moyen d'élargir votre vocabulaire et d'améliorer votre compréhension de la langue. Dans cet article, nous allons explorer un reportage qui nous emmène en Côte d'Ivoire à la recherche des léopards.

La forêt tropicale de Taï, en Côte d’Ivoire, est le théâtre d'une mission d'étude menée par deux chercheurs français : Marine Drouilly, spécialiste des animaux carnivores, et Robin Horion, ingénieur biologiste. Accompagnés de gardes forestiers ivoiriens, ils ont pour mission d'étudier les léopards qui vivent dans la région. Les léopards sont des animaux solitaires et discrets, et leur étude est donc une tâche difficile qui nécessite de la patience.

Les chercheurs marchent plus de dix kilomètres par jour et analysent chaque indice, chaque trace laissée par les félins. Les prélèvements d'ADN et les caméras sont également utilisés pour étudier ces animaux fascinants. Les léopards sont détectés et filmés, et chaque individu est recensé et identifié grâce à son pelage. Les chercheurs ont parcouru des milliers de kilomètres et posé plus de 600 caméras au cours de dizaines de missions dans différents pays d'Afrique de l'Ouest.

Les conditions dans lesquelles les chercheurs travaillent sont extrêmement difficiles, avec des températures pouvant atteindre 40°C et une humidité de 90%. Les sentiers sont souvent impraticables, et les léopards vivent et chassent principalement la nuit, obligeant les chercheurs à s'adapter à leur rythme. Des heures d'attente interminables, à écouter les bruits de la forêt, et imiter de temps en temps le cri d'une proie pour attirer le léopard, sont nécessaires pour avoir une chance de le voir.

Les léopards en Afrique de l'Ouest sont peu étudiés, et les travaux menés par ces chercheurs permettent d'améliorer nos connaissances sur ces animaux fascinants et sur leur écosystème. La crotte, par exemple, est un indice précieux pour les biologistes, qui peuvent en tirer des informations sur l'individu lui-même (mâle ou femelle) et sur la population en général.

Ce reportage montre à quel point l'étude des animaux peut être difficile, mais aussi passionnante. Il montre également l'importance de la recherche scientifique dans la compréhension de notre environnement et de la faune qui l'habite. En tant qu'apprenant de la langue française, lire et écouter des reportages sur des sujets fascinants tels que celui-ci peut vous aider à renforcer votre vocabulaire et à améliorer votre compréhension de la langue.

En conclusion, l'étude des léopards en Côte d'Ivoire est un sujet fascinant qui met en avant l'importance de la recherche scientifique et de la préservation de notre environnement naturel. Les chercheurs ont découvert de nombreuses informations intéressantes sur les habitudes et le comportement des léopards, ainsi que sur leur rôle crucial dans l'écosystème local. Cependant, l'étude a également mis en évidence les menaces auxquelles ces animaux sont confrontés, notamment la perte d'habitat, la chasse illégale et le commerce de leurs peaux et de leurs os. Il est donc crucial de prendre des mesures pour protéger les léopards et leur environnement, afin de garantir leur survie à long terme et de préserver la biodiversité de la région. Les résultats de cette étude devraient inciter à la sensibilisation et à l'action pour préserver ces magnifiques animaux et leur habitat naturel.

Ivory Coast, in search of leopards.

As part of learning the French language, it is often recommended to immerse oneself in interesting subjects to strengthen language skills. Thus, news reports and current events can be an excellent way to broaden your vocabulary and improve your understanding of the language. In this article, we will explore a report that takes us to Ivory Coast in search of leopards.

The tropical forest of Taï in Ivory Coast is the scene of a research mission led by two French researchers: Marine Drouilly, a specialist in carnivorous animals, and Robin Horion, a biologist engineer. Accompanied by Ivorian forest guards, they are tasked with studying the leopards that live in the region. Leopards are solitary and discreet animals, and their study is therefore a difficult task that requires patience.

The researchers walk more than ten kilometers a day and analyze every clue, every trace left by the felines. DNA samples and cameras are also used to study these fascinating animals. Leopards are detected and filmed, and each individual is counted and identified by its coat. The researchers have traveled thousands of kilometers and set up more than 600 cameras during dozens of missions in different West African countries.

The conditions under which the researchers work are extremely difficult, with temperatures reaching up to 40°C and humidity of 90%. The trails are often impassable, and leopards live and hunt primarily at night, forcing the researchers to adapt to their rhythm. Hours of endless waiting, listening to the sounds of the forest, and occasionally imitating the cry of prey to attract the leopard are necessary to have a chance of seeing it.

Leopards in West Africa are poorly studied, and the work carried out by these researchers helps to improve our knowledge of these fascinating animals and their ecosystem. Feces, for example, are a valuable clue for biologists, who can obtain information about the individual (male or female) and the population in general.

This report highlights how studying animals can be both challenging and exciting. It also demonstrates the importance of scientific research in understanding our environment and the wildlife that inhabits it. As a French language learner, reading and listening to reports on fascinating topics like this one can help you strengthen your vocabulary and improve your comprehension of the language.

In conclusion, the study of leopards in Côte d'Ivoire is a fascinating subject that underscores the importance of scientific research and the preservation of our natural environment. The researchers have discovered many interesting pieces of information about the habits and behavior of leopards, as well as their crucial role in the local ecosystem. However, the study has also highlighted the threats facing these animals, including habitat loss, illegal hunting, and the trade of their skins and bones. It is therefore crucial to take measures to protect leopards and their environment to ensure their long-term survival and preserve the region's biodiversity. The results of this study should inspire awareness and action to conserve these magnificent animals and their natural habitat.

Le whisky, énergie de demain.

L’Écosse est connue pour ses vallées verdoyantes, ses collines pittoresques, ses kilts et ses châteaux médiévaux. Cependant, il y a une autre chose pour laquelle cette région est célèbre dans le monde entier : le whisky. Depuis plus d’un siècle, cette boisson alcoolisée a été produite par la distillerie Glenfiddich dans le nord-est de l’Écosse, mais elle a récemment pris une toute nouvelle dimension. En effet, le whisky est désormais l’une des sources d’énergie du futur.

Grâce à une technique appelée méthanisation, les déchets issus de la production du whisky sont transformés en biocarburant. Ce processus se déroule dans des dômes de fermentation, où les résidus de la production sont mélangés à de l’eau et du CO2 pour créer du biogaz. Ce gaz est ensuite utilisé pour alimenter les camions de la distillerie, ce qui permet d’économiser 250 tonnes de CO2 par an pour chaque véhicule. Cela équivaut à la consommation en gaz de 112 foyers écossais.

Cette initiative a permis à la distillerie Glenfiddich de devenir une entreprise plus écologique et de réduire son impact environnemental. Cependant, elle a également des implications plus larges pour l’industrie énergétique en général. Le biocarburant issu de la production de whisky peut être utilisé pour alimenter les voitures, les camions et même les avions, en remplaçant les combustibles fossiles.

Cette nouvelle source d’énergie renouvelable pourrait également encourager d’autres distilleries à adopter des pratiques similaires. En effet, la production de whisky génère de grandes quantités de déchets organiques qui pourraient être transformés en biocarburant. Cela pourrait non seulement réduire l’impact environnemental de l’industrie, mais également aider à résoudre la crise énergétique mondiale.

Le whisky est l’une des boissons les plus appréciées dans le monde entier, mais cette nouvelle initiative montre que son utilisation ne se limite pas seulement à la consommation humaine. En recyclant les déchets de la production de whisky pour créer du biocarburant, les distilleries peuvent contribuer à construire un avenir plus durable pour tous.

Cette initiative de la distillerie Glenfiddich montre que même les industries traditionnelles peuvent adopter des pratiques écologiques et jouer un rôle dans la transition énergétique mondiale. En utilisant les déchets de la production de whisky pour créer du biocarburant, cette distillerie est un exemple de la manière dont l’innovation peut conduire à un avenir plus propre et plus durable pour tous.

Whisky, the energy of tomorrow.
Scotland is known for its green valleys, picturesque hills, kilts, and medieval castles. However, there is one other thing for which this region is famous worldwide: whisky. For over a century, this alcoholic beverage has been produced by the Glenfiddich distillery in northeast Scotland, but it has recently taken on a whole new dimension. Indeed, whisky is now one of the energy sources of the future.

Thanks to a technique called methanation, waste from whisky production is converted into biofuel. This process takes place in fermentation domes, where production residues are mixed with water and CO2 to create biogas. This gas is then used to power the distillery's trucks, saving 250 tons of CO2 per year for each vehicle. This is equivalent to the gas consumption of 112 Scottish households.

This initiative has enabled the Glenfiddich distillery to become a more environmentally friendly company and reduce its environmental impact. However, it also has broader implications for the energy industry in general. The biofuel derived from whisky production can be used to power cars, trucks, and even planes, replacing fossil fuels.

This new source of renewable energy could also encourage other distilleries to adopt similar practices. Indeed, whisky production generates large amounts of organic waste that could be transformed into biofuel. This could not only reduce the industry's environmental impact but also help to solve the global energy crisis.

Whisky is one of the most beloved beverages worldwide, but this new initiative shows that its use is not limited to human consumption. By recycling whisky production waste to create biofuel, distilleries can contribute to building a more sustainable future for all.

This initiative by the Glenfiddich distillery shows that even traditional industries can adopt eco-friendly practices and play a role in the global energy transition. By using whisky production waste to create biofuel, this distillery is an example of how innovation can lead to a cleaner and more sustainable future for all.

Singapour a la main verte.

Singapour, un modèle de développement durable.

Singapour, la ville jardin ou ville oasis, est un véritable paradis pour les amoureux de la nature. Ici, la végétation recouvre les rues, s'étale sur les terrasses et grimpe sur les immeubles. La nature est omniprésente, à l'horizontale comme à la verticale, offrant ainsi un cadre de vie exceptionnel aux habitants de la ville. Mais cette ville ne se contente pas de proposer un cadre de vie agréable, elle est aussi un modèle de développement durable.

Singapour est l'une des villes les plus densément peuplées au monde, avec une température moyenne de 28 degrés toute l'année. La lutte contre la surconsommation d'énergie et le réchauffement climatique est donc une priorité absolue pour cette ville. Singapour est ainsi devenue une "green nation", avec pour ambition de devenir la ville la plus écologique au monde d'ici 2030.

Les bâtiments verts sont la norme à Singapour. La ville compte de nombreux immeubles équipés de panneaux solaires, mais aussi le plus grand jardin vertical au monde qui fait baisser la température des appartements de 3 degrés. Les toits des bâtiments sont également utilisés pour créer des jardins et des espaces verts, réduisant ainsi la chaleur et contribuant à la lutte contre le réchauffement climatique.

La ville de Singapour travaille également à transformer les immeubles existants pour les rendre plus écologiques. L'objectif des autorités est de transformer 80% des immeubles d'ici 2050 pour réduire la consommation énergétique et les émissions de CO2. Les architectes de Singapour sont également très impliqués dans cette démarche. Les bâtiments sont conçus pour intégrer différentes solutions écologiques, comme l'utilisation de la ventilation naturelle et de la lumière naturelle, ce qui permet de réduire la consommation d'énergie de plus de 30%.

Singapour est également une ville très favorable aux transports durables. Elle dispose de nombreuses pistes cyclables, de parcs aménagés et de nombreuses plantations d'arbres, ce qui contribue à rendre la ville plus verte et plus agréable à vivre.

En somme, Singapour est un modèle de développement durable. Cette ville a réussi à allier urbanisation et préservation de l'environnement, en proposant un cadre de vie agréable et respectueux de la nature. Les autorités de Singapour ont compris que la protection de l'environnement était l'un des enjeux majeurs de notre temps, et ils travaillent ardemment pour rendre leur ville la plus écologique au monde. Un exemple à suivre pour les autres villes du monde.

Singapore, a model of sustainable development.

Singapore, the garden city or oasis city, is a true paradise for nature lovers. Here, vegetation covers the streets, spreads out on terraces, and climbs up buildings. Nature is omnipresent, horizontally and vertically, offering an exceptional living environment for the city's inhabitants. But this city does not just offer a pleasant living environment, it is also a model of sustainable development.

Singapore is one of the most densely populated cities in the world, with an average temperature of 28 degrees Celsius all year round. Fighting against overconsumption of energy and climate change is therefore an absolute priority for this city. Singapore has become a "green nation", with the ambition of becoming the most ecological city in the world by 2030.

Green buildings are the norm in Singapore. The city has numerous buildings equipped with solar panels, but also the world's largest vertical garden that reduces apartment temperatures by 3 degrees. Building roofs are also used to create gardens and green spaces, thus reducing heat and contributing to the fight against climate change.

The city of Singapore is also working to transform existing buildings to make them more ecological. The authorities' goal is to transform 80% of buildings by 2050 to reduce energy consumption and CO2 emissions. Singaporean architects are also very involved in this approach. Buildings are designed to integrate various ecological solutions, such as the use of natural ventilation and natural light, which can reduce energy consumption by more than 30%.

Singapore is also a very favorable city for sustainable transportation. It has numerous cycling paths, parks, and many tree plantations, which help make the city greener and more pleasant to live in.

In summary, Singapore is a model of sustainable development. This city has managed to combine urbanization and environmental preservation by offering a pleasant and nature-respectful living environment. The authorities of Singapore have understood that environmental protection is one of the major challenges of our time, and they are working hard to make their city the most ecological in the world. An example to follow for other cities around the world.

Famine à Madagascar, il est temps d'agir.

Famine à Madagascar, il est urgent d’agir.

La situation en matière de famine à Madagascar est alarmante et nécessite une action urgente. Plus d'un million de personnes souffrent d'insécurité alimentaire dans le sud du pays, où les agriculteurs ont abandonné leurs cultures pour la production de charbon. Les effets du changement climatique ont exacerbé une situation déjà difficile, avec une sécheresse prolongée qui a empêché la croissance des cultures et une déforestation croissante qui a dégradé encore plus l'environnement.

Cette crise alimentaire est particulièrement tragique pour les enfants et les familles, comme Liana Touroué, qui se voient contraints de consommer des feuilles de cactus pour survivre. Sa fille de trois ans souffre de malnutrition aigüe sévère et risque de mourir si elle ne reçoit pas de soins. Cette histoire déchirante est malheureusement trop courante dans le sud de Madagascar.

Les scientifiques estiment que la solution à long terme pour résoudre cette crise alimentaire récurrente est la mise en place d'un projet de reforestation à grande échelle. Paubert Mahatante, enseignant-chercheur au ministère de la Pêche, explique que le réchauffement climatique aggrave la situation en intensifiant le vent, ce qui érode les champs de culture. Une ceinture verte de 400 kilomètres de long pourrait être mise en place pour résoudre ce problème.

Bien que la distribution de nourriture par les ONG ait été la solution privilégiée pendant des années, cette politique est de plus en plus remise en question par les autorités elles-mêmes. Julson Paul Razafimandimby, directeur régional de l'Eau et de l'Hygiène, affirme que l'argent des partenaires internationaux pourrait être mieux utilisé pour construire une infrastructure à grande échelle dans le sud de Madagascar. Cela permettrait de résoudre le problème de la famine en moins de cinq ans.

Il est temps que les gouvernements et les organisations internationales prennent des mesures concrètes pour aider les populations du sud de Madagascar à surmonter cette crise alimentaire. Des investissements massifs dans la construction d'infrastructures et la reforestation sont nécessaires pour offrir un avenir plus sûr aux familles comme celle de Liana Touroué.

Famine in Madagascar, urgent action needed.

The situation regarding famine in Madagascar is alarming and requires urgent action. Over a million people are suffering from food insecurity in the southern part of the country, where farmers have abandoned their crops for charcoal production. The effects of climate change have exacerbated an already difficult situation, with prolonged droughts preventing crop growth and increasing deforestation further degrading the environment.

This food crisis is particularly tragic for children and families, like Liana Touroué's, who are forced to consume cactus leaves to survive. Her three-year-old daughter is suffering from severe acute malnutrition and is at risk of dying without proper care. This heartbreaking story is unfortunately all too common in southern Madagascar.

Scientists estimate that the long-term solution to this recurring food crisis is the implementation of a large-scale reforestation project. Paubert Mahatante, a research professor at the Ministry of Fisheries, explains that climate change is exacerbating the situation by intensifying winds, which erode the crop fields. A 400-kilometer long green belt could be established to address this problem.

While food distribution by NGOs has been the preferred solution for years, this policy is increasingly being questioned by the authorities themselves. Julson Paul Razafimandimby, the regional director of Water and Hygiene, says that international partners' money could be better used to build large-scale infrastructure in southern Madagascar. This would solve the famine problem in less than five years.

It is time for governments and international organizations to take concrete steps to help the people of southern Madagascar overcome this food crisis. Massive investments in infrastructure construction and reforestation are necessary to offer a safer future for families like Liana Touroué's.