7jours learn french: VIE QUOTIDIENNE
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La Sieste : Un art de vivre.

La sieste, cet art de vivre qui traverse les siècles, est sans conteste l'une des pratiques les plus appréciées de l'été. Que ce soit pour faire une petite pause en plein soleil, s'allonger sur l'herbe ou dans la fraîcheur bienvenue d'un appartement, la sieste est un moment de repos salutaire qui a inspiré de nombreux artistes.

En 1890, Vincent Van Gogh s'intéresse aux paysans et peint l'une des siestes les plus célèbres de l'histoire de l'art. Dans ce tableau, un couple de moissonneurs, faucilles déposées à leurs pieds, sabots enlevés, tout est copié sur l'œuvre de Jean-François Millet, le peintre de la France rurale des années 1850. Mais là où Van Gogh s'éloigne de son maître, c'est sur les couleurs : du bleu, du jaune pour représenter la chaleur écrasante. Et pourtant, il peint cette toile en plein hiver, enfermé dans sa chambre, à l'asile. Emmanuel Coquery, directeur adjoint des collections au musée d'Orsay, explique que « C'est une image qu'il a faite à un moment où il était malade, à l'hospice de Saint-Rémy-de-Provence, en imaginant le soleil, quelque part, et on a ce tableau extraordinaire, complètement extraverti, complètement solaire.

Henri Matisse, quant à lui, peint la sieste en intérieur dans son atelier de Nice en 1922. La sieste est alors un thème privilégié pour capter ce naturel que Matisse aimait dans son modèle, selon Aurélie Verdier, conservatrice au Centre Pompidou.

Au fil des années, la sieste s'est transformée en un véritable passe-temps estival. Dans les années 1950, le photographe Robert Doisneau capture une scène de deux voyageurs en train de faire de l'autostop sur le bord de la route des vacances. Puis, les voitures particulières envahissent les routes et pour une publicité, Doisneau photographie une actrice faisant la sieste pour promouvoir la marque Simca. Cette touriste pensait être à l'abri de l'objectif, mais c'était sans compter sur le Britannique Martin Parr, qui a un regard plein de dérision sur nos siestes estivales.

En somme, la sieste est un art de vivre qui a su s'adapter au fil du temps. Que ce soit dans un champ, à la plage ou dans son canapé, la sieste est une pause bienvenue qui permet de se ressourcer et de repartir de plus belle. Alors, pourquoi ne pas intégrer ce moment de détente dans notre quotidien, et ainsi profiter de tous les bienfaits que la sieste peut offrir ?

Nap: An Art of Living.

The nap, an art of living that has crossed centuries, is undoubtedly one of the most beloved practices of summer. Whether it's for taking a short break in the sun, lying down on the grass or in the welcome coolness of an apartment, the nap is a beneficial moment of rest that has inspired many artists.

In 1890, Vincent Van Gogh became interested in peasants and painted one of the most famous naps in the history of art. In this painting, a couple of harvesters, sickles laid at their feet, shoes removed, everything is copied from the work of Jean-François Millet, the painter of rural France in the 1850s. But where Van Gogh departs from his master is in the colors: blue, yellow to represent the crushing heat. And yet, he painted this canvas in the dead of winter, locked up in his room, in the asylum. Emmanuel Coquery, Deputy Director of Collections at the Musée d'Orsay, explains that "It's an image he made when he was sick, at the Saint-Rémy-de-Provence hospice, imagining the sun somewhere, and we have this extraordinary painting, completely extroverted, completely solar."

Henri Matisse, for his part, painted the nap indoors in his studio in Nice in 1922. The nap was then a privileged theme for capturing the naturalness that Matisse liked in his model, according to Aurélie Verdier, curator at the Centre Pompidou.

Over the years, the nap has turned into a true summer pastime. In the 1950s, photographer Robert Doisneau captured a scene of two travelers hitchhiking on the vacation road. Then, private cars invaded the roads and for an advertisement, Doisneau photographed an actress taking a nap to promote the Simca brand. This tourist thought she was safe from the lens, but that was without counting on the British Martin Parr, who has a derisive look at our summer naps.

In short, the nap is an art of living that has adapted over time. Whether in a field, on the beach or on one's couch, the nap is a welcome break that allows us to recharge and come back even stronger. So why not integrate this moment of relaxation into our daily lives, and thus enjoy all the benefits that a nap can offer?

Jouets : et pourquoi pas les louer ?

Louer plutôt qu'acheter, une pratique en vogue chez les consommateurs en quête d'économies et de durabilité. Cette tendance s'étend désormais au domaine des jouets, avec des entreprises comme "Lib & Lou" proposant des abonnements mensuels pour louer des jouets pour enfants.

Dans une famille de la région parisienne, c'est un peu Noël tous les mois. Laetitia Charrier, mère de famille, vient récupérer une commande de quatre nouveaux jeux pour ses filles Cléo et Avril. Mais ces jeux ne sont pas achetés, ils sont loués. Un choix économique pour cette mère de famille, qui préfère éviter l'accumulation de jouets sur les étagères de sa maison.

"Louer plutôt qu'acheter, c'est une économie non négligeable pour moi. Je pense qu'on en aurait facilement pour minimum 100 euros si on achetait ces jeux. Là j'en ai eu pour l'abonnement à 15 euros par mois", explique-t-elle.

L'entreprise "Lib & Lou" a été créée il y a trois ans, avec pour ambition de proposer une alternative à l'achat de jouets pour enfants, souvent délaissés après quelques mois d'utilisation. "On dit qu'en moyenne la durée de vie d'un jeu, c'est sept mois. Ça, c'est la durée de vie moyenne, la durée d'utilisation, elle est bien moindre. Donc sur beaucoup de jeux, en fait, l'idée c'est vraiment de leur proposer deux mois, trois mois, et après de changer", explique Morgane Longo, cofondatrice de "Lib & Lou".

L'entreprise propose plus de mille références de jouets, stockées dans un entrepôt où ils sont contrôlés, nettoyés et réparés avant chaque nouvelle location. "Eh ben là il peut y avoir, des fois on sent des petits grains, des cheveux, donc je nettoie, je les ôte, pour pouvoir que ça reparte à la location", explique une employée de "Lib & Lou".

Cette pratique de la location de jouets répond également à une préoccupation écologique et sociétale, en contribuant à réduire les déchets générés par les jouets pour enfants. Selon une étude, 120 000 tonnes de jouets sont jetées chaque année en France et seulement 10 % sont recyclés ou réutilisés. Louer des jouets plutôt que de les acheter et de les jeter après quelques mois d'utilisation contribue donc à réduire notre impact environnemental.

Mais la location de jouets répond également à un changement de mentalité chez les consommateurs, qui ne cherchent plus forcément à être propriétaires de biens matériels, mais souhaitent avant tout en profiter. "Ce qui compte en réalité, c'est de pouvoir utiliser les biens, pas forcément d'en être propriétaire. Et si de surcroît on a le sentiment que, ce faisant, on contribue à la mise en place d'un mode de consommation plus responsable, plus compatible avec les enjeux environnementaux, on est gagnant, le consommateur et le citoyen y trouvent leur compte", explique Philippe Moati, économiste à l'Observatoire société et consommation.

La location de jouets est donc une pratique économique et écologique. En effet, en louant plutôt qu'en achetant, on peut économiser de l'argent, tout en réduisant notre empreinte environnementale. De plus, cette pratique permet de limiter le gaspillage en donnant une seconde vie à des jouets qui auraient autrement fini à la poubelle.

Mais la location de jouets a également un impact social positif. Elle permet aux enfants de découvrir de nouveaux jouets et de les utiliser pendant une période limitée, avant de passer à autre chose. Cela favorise la créativité et l'imagination, tout en évitant l'encombrement de la maison avec des jouets qui ne sont plus utilisés.

Enfin, la location de jouets est une pratique qui s'inscrit dans une consommation plus responsable et plus réfléchie. Elle permet de réduire notre empreinte écologique en évitant de surconsommer et en optant pour une alternative plus durable. Elle encourage également les entreprises à repenser leur modèle économique en faveur de la durabilité et de la réutilisation.

En somme, la location de jouets est une pratique à encourager et à adopter pour tous ceux qui souhaitent concilier économie, écologie et responsabilité sociale. Grâce à des entreprises comme « Lib & Lou », il est désormais possible de louer des jouets facilement et à moindre coût, tout en participant à la construction d'un mode de consommation plus durable et plus responsable.

Toys: why not rent them?

Renting instead of buying is a popular practice among consumers looking for savings and sustainability. This trend now extends to the world of toys, with companies like "Lib & Lou" offering monthly subscriptions to rent toys for children.

In a family in the Paris region, it's a bit like Christmas every month. Laetitia Charrier, a mother, picks up an order of four new games for her daughters Cléo and Avril. But these games are not purchased, they are rented. It's an economic choice for this mother, who prefers to avoid the accumulation of toys on the shelves of her home.

"Renting rather than buying is a significant saving for me. I think we would easily spend at least 100 euros if we bought these games. But with the subscription, I only paid 15 euros per month," she explains.

"Lib & Lou" was created three years ago with the ambition of offering an alternative to buying toys for children, which are often abandoned after a few months of use. "On average, the lifespan of a toy is seven months. That's the average lifespan, but the actual duration of use is much shorter. So for many toys, the idea is really to offer them for two or three months, and then to change them," explains Morgane Longo, co-founder of "Lib & Lou."

The company offers more than a thousand toy references, stored in a warehouse where they are inspected, cleaned, and repaired before each new rental. "Sometimes there are small grains, hairs, so I clean them to make sure they can be rented again," explains an employee of "Lib & Lou."

This practice of renting toys also responds to environmental and societal concerns by helping to reduce waste generated by children's toys. According to a study, 120,000 tons of toys are thrown away every year in France, and only 10% are recycled or reused. Renting toys instead of buying and then disposing of them after a few months of use helps reduce our environmental impact.

But toy rental also responds to a change in mentality among consumers, who are no longer necessarily seeking to own material possessions, but rather to enjoy them. "What really matters is being able to use goods, not necessarily owning them. And if, moreover, we feel that, by doing so, we are contributing to the establishment of a more responsible mode of consumption, more compatible with environmental issues, then we are winners, the consumer and the citizen benefit from it," explains Philippe Moati, economist at the Society and Consumption Observatory.

Toy rental is therefore an economic and ecological practice. By renting instead of buying, one can save money while reducing our environmental footprint. In addition, this practice helps to limit waste by giving a second life to toys that would otherwise end up in the trash.

But toy rental also has a positive social impact. It allows children to discover new toys and use them for a limited period of time before moving on to something else. This promotes creativity and imagination while avoiding clutter in the home with toys that are no longer used.

Finally, toy rental is a practice that fits into a more responsible and thoughtful consumption. It helps to reduce our ecological footprint by avoiding overconsumption and opting for a more sustainable alternative. It also encourages companies to rethink their economic model in favor of sustainability and reuse.

In summary, toy rental is a practice to encourage and adopt for anyone who wishes to reconcile economy, ecology, and social responsibility. Thanks to companies like "Lib & Lou", it is now possible to easily and affordably rent toys while contributing to the construction of a more sustainable and responsible mode of consumption.

Canada, cultivez votre jardin !

Aujourd'hui, alors que le monde est confronté à la pandémie de coronavirus, de nombreuses personnes cherchent des moyens de devenir plus autonomes, en particulier en matière alimentaire. Et quoi de mieux pour atteindre cet objectif que de cultiver son propre potager ? C'est ce que de nombreux Québécois ont décidé de faire, comme en témoigne la ruée vers les semis de graines et les plants de légumes.

Le confinement a permis à de nombreuses familles de passer plus de temps à la maison, et pour certains, cela a été l'occasion de se lancer dans une nouvelle aventure : cultiver leur propre nourriture. Bruno Boulianne et sa famille ont décidé de planter des graines de fines herbes pour la première fois cette année, en utilisant des semis intérieurs. C'est un excellent moyen de commencer, car les herbes poussent rapidement et sont faciles à cultiver.

Mais Bruno n'est pas le seul à se lancer dans l'aventure de la culture de son propre potager. Les Québécois ont été nombreux à faire de même, craignant que les serres ne restent fermées en raison de la pandémie. Les entreprises vendant des semences ont été dévalisées, avec une explosion des commandes par téléphone et en ligne. Les propriétaires de serres comme Pierre Jasmin ont été submergés par les demandes, avec autant de commandes en un mois que pendant toute l'année précédente.

Le mouvement en faveur de l'autonomie alimentaire est en train de prendre de l'ampleur, poussant les gens à vouloir cultiver leur propre nourriture et à devenir moins dépendants des grandes surfaces et de l'importation. C'est un retour aux sources, à un savoir-faire artisanal qui rappelle celui de nos ancêtres et de nos parents.

Si vous souhaitez vous lancer dans la culture de votre propre potager, il n'est pas trop tard pour commencer ! Vous pouvez acheter des plants de légumes dans les serres qui ont pris toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité de leurs clients. Ou vous pouvez commencer à semer vos propres graines à l'intérieur, comme l'a fait Bruno Boulianne avec sa famille.

Et si vous êtes intéressé par l'apprentissage du français, cultiver un potager peut également être une excellente occasion d'améliorer vos compétences linguistiques. Vous pouvez lire des articles sur la culture des légumes en français, regarder des vidéos en ligne ou discuter avec des locuteurs natifs pour apprendre de nouveaux mots et expressions. Alors, pourquoi ne pas vous lancer et commencer à cultiver votre propre potager tout en améliorant votre français ? C'est une expérience enrichissante à bien des égards !

Canada, cultivate your garden!
Today, as the world is facing the coronavirus pandemic, many people are looking for ways to become more self-sufficient, especially when it comes to food. And what better way to achieve this goal than by growing your own vegetable garden? That's what many Quebecers have decided to do, as evidenced by the rush for seedlings and vegetable plants.

The lockdown has allowed many families to spend more time at home, and for some, it has been an opportunity to embark on a new adventure: growing their own food. Bruno Boulianne and his family decided to plant herb seeds for the first time this year, using indoor seedlings. It's a great way to start, as herbs grow quickly and are easy to cultivate.

But Bruno is not the only one embarking on the adventure of growing his own vegetable garden. Quebecers have been many to do the same, fearing that greenhouses will remain closed due to the pandemic. Seed-selling businesses have been looted, with an explosion of orders by phone and online. Greenhouse owners like Pierre Jasmin have been overwhelmed with requests, with as many orders in one month as in the entire previous year.

The movement towards food self-sufficiency is gaining momentum, pushing people to want to grow their own food and become less dependent on supermarkets and imports. It's a return to basics, to artisanal know-how that reminds us of that of our ancestors and parents.

If you want to start growing your own vegetable garden, it's not too late to start! You can buy vegetable plants from greenhouses that have taken all the necessary measures to ensure the safety of their customers. Or you can start sowing your own seeds indoors, like Bruno Boulianne did with his family.

And if you're interested in learning French, growing a vegetable garden can also be an excellent opportunity to improve your language skills. You can read articles on vegetable cultivation in French, watch videos online, or talk to native speakers to learn new words and expressions. So why not start and begin growing your own vegetable garden while improving your French? It's a rewarding experience in many ways!

La Doc Martens, de génération en génération - 7 jours sur la planète

 

LA DOC MARTENS, DE GÉNÉRATION EN GÉNÉRATION 

La Doc Martens, une paire de chaussures mythique ! Présenter une paire de chaussures mythique. 

• Thème : vie quotidienne 

• Niveau : A2, élémentaire 

• Public : adultes 

• Durée indicative : environ 1 heure 10 sur deux séances 

• Extrait utilisé : reportage de la RTS, 16/02/2021 

OBJECTIFS COMMUNICATIFS / PRAGMATIQUES 

• Comprendre les informations principales et certains détails du reportage. 

• Comprendre des détails à propos du design de la Doc Martens. 

• Présenter une chaussure mythique de son pays ou de sa jeunesse. 

OBJECTIF LINGUISTIQUE 

• Enrichir le lexique lié à la mode et plus particulièrement à la chaussure. 

OBJECTIF (INTER)CULTUREL 

• Échanger sur des marques de chaussures. 

ÉDUCATION AUX MÉDIAS 

• S’appuyer sur le support visuel pour en extraire le maximum d’informations.

TRANSCRIPTION, LA DOC MARTENS, DE GÉNÉRATION EN GÉNÉRATION 

Voix off À chacun son look, mais aux pieds de beaucoup de ces collégiens genevois, une paire de Doc Martens. À côté de l’indétrônable modèle noir à coutures jaunes, désormais toute une déclinaison de styles et de formes jusqu’à la sandale. Depuis quelques années, c’est une nouvelle déferlante auprès des jeunes. 

Rose, collégienne J’ai commencé à mettre, je pense, des Docs vers 13, 14, comme ça, et c’est une chaussure qu’on peut vraiment mettre autant à l’école, d’un coup pour… si vous avez un entretien un peu, ça fait droit, et en même temps vous allez pouvoir mettre ça en concert, et tout ça, dans des pogos, ça tient bien le pied. 

Gleb, collégien Une Doc, ça tient, et pas que deux, trois ans, ça peut tenir une vie si on s’occupe bien de cette paire. 

Léonie, collégienne Dans ma famille, mon père, il en avait aussi. Et j’ai vraiment grandi avec mes premières Doc Martens avec des petites fleurs. C’est aussi plus devenu à la mode, aussi sur les réseaux sociaux. Voix off La Doc Martens, à l’origine une chaussure orthopédique avec sa semelle à coussin d’air créée par le médecin allemand Klaus Martens. Commercialisée en 1960 par un industriel anglais, elle est d’abord adoptée par les ouvriers, puis rapidement par une jeunesse rebelle devenant icône de la contre-culture. Après un rachat par un fonds d’investissement il y a quelques années, la marque, pour devenir tout public, a élargi et modernisé sa palette. Confirmation dans ce magasin genevois où l’heure est au rangement pour le gérant et son apprenti. 

Alrik Verbregue, cogérant Maniak Genève La 1460, c’est le premier modèle à être sorti dans cette couleur. Voilà, un petit mocassin, pompon. La meilleure vente de cet hiver, la Jadon. On a beaucoup d’ados, les parents portaient des Docs, aujourd’hui, c’est les enfants qui en portent. Et puis, on a des personnes qui sont nostalgiques, qui portaient des Docs il y a 30 ans, qui reviennent reprendre une paire de Docs. 

Voix off Bryan, l’apprenti vendeur est lui-même fan. 

Bryan, apprenti de vente Ben, ça en fait c’est tous les modèles que je possède déjà, à la maison, ici. C’est vraiment tendance, actuel, avec le côté plateforme. Elle peut vraiment se marier avec pas mal de choses, ouais. 

Voix off Si elle séduit largement, la Doc fait aussi l’objet de critiques pour avoir justement perdu de son âme rebelle en étant récupérée par la mode et en devenant tout public. En tout cas, la marque, entrée en bourse fin janvier, a démarré du bon pied sur le marché londonien avec une valorisation à plus de quatre milliards de francs.